Pour cette séance c'est une Saga totale, 3 tables, 3 parties. L'âge des Vikings monopolise deux tables de jeu, tandis que la dernière est prise par une partie sur l'Âge d'Hannibal.
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La première bataille fut un échange de coups entre Vikings et Francs Carolingiens pour le contrôle de 3 zones de terrains.
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Les Francs ont rapidement pris l'avantage en repoussant tous les assauts désordonnés des vikings, seul la colline centrale fut tenue par les nordiques.
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Mais après un changement de commandant au cours de la bataille, les vikings ont fini par infliger d'énormes pertes aux francs. Amassant de nombreuses unités sur la colline, ils contrôlent le centre du champ de bataille scindant en deux une armée franc dispersée. L'issue de la bataille ne permis pas de désigner de vainqueurs.
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Changement de table et changement de période. Ici nous avons les Ibères face aux Grecs de Syracuse. Ces derniers doivent traverser le champ de bataille pour amener leurs chariots d'un bout à l'autre de la table de jeu.
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Les combats vont se porter au tour des chariots, les grecs tentant d'anticiper les assauts ennemis. Leur cavalerie se sacrifie pour la cause mais laisse du coup quelques brèches. Le Seigneur Ibère en profite pour tenter d'éliminer le seigneur adverse mais même s'il n'est pas spartiate, cela reste un grec,les pieds plantés dans le sol, près à affronter toutes les armées.
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La perte du commandant Ibère va considérablement facilité la tâche aux grecs. Ils perdront quand même un chariot, mais c'est "pour la cause" ; les deux autres atteignent la sortie sous bonne escorte.
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Dernière partie, de retour à l'époque du haut moyen age ou normands et irlandais s'affrontent pour contrôler des objectifs dans les lignes adverses. La bataille sera coupée en deux parties. Le centre voit un affrontement où les adversaires se rendent coup pour coup, tandis que de l'autre côté du marais c'est une escarmouche.
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Près du marais, un des Curaidh se jette sur quelques guerriers normands et les repoussent, puis il se fait attraper par la patrouille des gardes montés, ce qui refroidit nettement les guerriers et l'unité de chiens de guerre d'intervenir.
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Au centre les irlandais subissent les tirs des archers et répliquent avec quelques javelots. Les normands attaquent sur le flanc gauche irlandais et va remonter au fur et à mesure la ligne adverse avec le soutien des archers et des sergents montés. La chute du seigneur irlandais, gravement blessé par son homologue normands et achevé par une flèche, sonne le glas des insulaires.
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La semaine prochaine, nous nous acheminons de nouveau vers les invasions vikings, mais ceci est une autre histoire.
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