Samedi 10 septembre - De retour pour une nouvelle saga

Bonjour chères lectrices et chers lecteurs. Comme la plupart des associations, cette journée fut notre rentrée pour une nouvelle saison. Celle-ci s'est déroulée doucement avec deux parties sur notre jeu phare de ses dernières années  : Saga.

Deux nouvelles personnes sont venues nous voir cet après-midi, aspirant à grossir nos rangs pour notre plus grande joie. C'est entre Berserkers furieux et Éléphants déchainés que nous avons un peu discuter.

La première table de jeu proposait un affrontement entre les Carthaginois et les Grecs de Syracuse pour le compte de notre campagne sur la Guerre Punique.

Nous prenons part au combat après plusieurs heures d'affrontement, les troupes sont fatigués des deux côtés. Sans attendre de finir en loukoum plein de cure-dents, l'unique éléphant punique se jettent dans la mêlée face aux phalanges grecs. Ces derniers, surpris par l'entreprise, sont d'abord repoussés, puis sous l'impulsion de leur chef, ils renversent la vapeur et le pachyderme par la même occasion.

Fort de leur élan, l'élite de l'élite grecque, la super garde décide à sont tour de nettoyer le bois central de la bande de sdf qui s'est installée illégalement. Tel des CRS, le tabassage se fait dans les règles de l'art. Mais pas encore rassasiés, ils s'en prennent à une unité de mercenaires carthaginois. Ceux-ci ont l'intelligence de s'éloigner immédiatement des coups de lance ennemis. Les africains répliquent avec leur cavalerie qui va harceler les guerriers grecs restés en retrait.

Ce seront les mercenaires qui feront fuir les guerriers grecs, profitant ainsi pour s'éloigner un peu plus des gardes brutaux. Pendant ce temps, la cavalerie se positionne dans le dos adverse, près à harceler ou charger, selon le résultat de la mêlée entre les deux chefs de guerre.

Les hoplites grecs repoussent plusieurs assauts carthaginois, leur seigneur s'y mettra aussi vainement. La cavalerie carthaginois prendra la décision de charger les archers grecs avec un succès mitigé. Cela laissera une ouverture pour le seigneur grec de les prendre entre 12 yeux et leur apprendre les bonnes manières.

Au terme de ses affrontements, c'est une victoire pour les grecs à l'image de leur cousin d’Épire, le dénommé Pyrrhus.

Les vikings de Gauthier effectuaient leur première sortie loin des Fjords scandinaves, avides de butins. Ils jetèrent leur dévolu sur les terres anglo-saxonnes, débarquant activement. Mais en face, ils trouvèrent des vétérans des tables de Saga, des repousseurs d'invasion, les guerriers de Dimitri. 

L'affrontement se fit sans attendre. Les Vikings et Anglo-saxons se ruèrent sur les trésors laissés à l'abandon par des inconscients ou des marchands qui ont préféré fuir pour leur vie en voyant les norses déboulés.

Les guerriers nordiques s'emparèrent de 2 des 3 butins, mais il ne faut pas croire que les anglo-saxons ne savent pas courir, la preuve en est qu'un contingent rattrapa quelques vikings pour leur faire la peau avant de récupérer le butin.

Alors que l'aile gauche anglo-saxonne court après les oiseaux de mauvaises augures, le seigneur local n'hésite pas à dépouiller de guerriers pour mettre en lieu sûr l'un des trésors. Il va rabattre une partie de son flanc droit pour boucher les trous, sachant que disputer le dernier butin aux vikings est peine perdue.

Tactique audacieuse mais perspicace, car les vikings ne profitent pas trou béant dans la défense adverse, ils sont plutôt intéressé par les anglo-saxons détenant le butin dernière leurs lignes et qui tentent de se carapater discrètement. Que nenni, les nordiques n'approuvent pas cela et vont leurs tomber dessus. C'est alors qu'ils se font engager par les forces anglo-saxonnes venues du flanc droit. Les vikings déboussolés fuient alors vers leurs navires, n'emportant finalement qu'un seul des trois butins.

Comme l'a dit David, les vikings ont subi le courroux des dieux et la fameuse malédiction de la première bataille de l'armée peinte.

La suite la semaine prochaine !



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