Samedi 29 janvier - La guerre pudique

 Bonjour tout le monde,

Ce samedi, ce fut très très calme au niveau des tables de jeux. Une seule et unique partie. Ce fut sur Saga l'Âge d'Hannibal. Les deux joueurs présents en ont profité pour lancer un conflit entre Rome et Carthage qui n'est d'autre que la Guerre Punique. Tout au long de l'année, les joueurs jouerons de manière libre des parties sur cette période en choisissant de défendre un camp ou l'autre. Nous verrons quel camp sortira victorieux de cette campagne.

Le premier affrontement de cette campagne se fait entre Rome et les Gracueli, les colonies grecs d'Italie. C'est surement dans le sud de la botte qu'eu lieu la bataille, en pleine saison des pluies printanières.

Par la bataille, les vikings et japonais font offices de grecs, après tout c'est aussi des étrangers en Italie, pour les besoins techniques. Alors que Dimitri a déjà choisit sa faction, les romains, David teste sa prochaine armée à peindre, donc faut pas se louper !

Les Gracueli ont pris les points stratégiques du camp de bataille rapidement. Les romains doivent les déloger pour gagner celle-ci. Mais qui se frotte aux Gracueli s'y pique. Le centre grec tient le coup face aux assauts romains. Le flanc droit est protéger par un bois dans lequel les romains refusent de pénétrer de peur de se faire canarder par les archers adverses.

Sur l'autre flanc, c'est en revanche tout une autre histoire. Un détachement de psiloïs et une partie de la légion fait pression sur les piquiers grecs. Ils ont fondu comme neige au soleil.

Enthousiasmé par la bonne nouvelle, le général romain s'aventure en première ligne et tente même une attaque sur les lignes adverses. Bien mal lui en à pris. Il rentrera à son campement avec la bedaine percée et son égo au fond du trou :))

Pendant que les romains évacuent leur commandant, le flanc gauche grec rend l'âme et les romains débutent le contournement de la ligne adverse. C'est à ce moment là qu'un coup de "tutut" se fait entendre. 18h, c'est l'heure de la soupe ! Les romains retournent au campement, laissant aux grecs la victoire et la fierté d'avoir tenue tête à leurs adversaires. Mais bon, ils n'étaient pas 300, ils n'ont pas la même carrure, hein Léonidas !

Tiens, je me prendrai bien un p'tit chocolat ! Allez, à la semaine prochaine les gaulois.


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