Samedi 22 janvier - Reprise des hostilités

Bonjour, ce samedi nous étions nombreux autour des tables de jeux, l'arrivée au compte goutte des joueurs nous a même obligé à investir une salle annexe pour déployer 4 tables de jeux.

Deux tables furent consacrées à Saga, l'une sur l'Age de Vikings, l'autre sur l'Age de la Magie. A côté, quelques joueurs poursuivirent leur campagne sur Warcry. En fin de séance une quatrième table fut dressée pour une partie sur Underworld.

Sur l'Age des Vikings, nous vous transportons en terres Irlandaises. Les locaux tentent de repousser les Jomsvikings. La meilleure solution pour que les étrangers partent, éliminer leur chef !

Les irlandais, très férus de nature, ne supportent pas de voir les jomsvikings fouler le lichen de leurs bois et lancent la chasse à cours dans la contrée boisée.

Au centre, les lignes se tiennent. Le jomsvikings vont lancer quelques assauts. Le Seigneur irlandais va venir soutenir moralement ses guerriers, délaissant son flanc gauche.

Le Seigneur jomsvikings va en profiter pour attaquer subrepticement par le bois avec sa garde le flanc gauche irlandais pendant que les combattants au centre du champ de bataille annihilent sans désigner de vainqueur.

Le Seigneur irlandais n'a d'autres choix que de donner de sa personne pour encourager ses derniers hommes à repousser les jomsvikings. Les derniers assauts verront le chef local tomber sous les coups des pillards nordiques, mais ceux-ci très affaibli ne pourront pas en profiter.

Une seconde bataille sera faite, les joueurs inversant leurs armées. Cette fois-ci les jomsvikings vont se prendre une dérouillée face aux irlandais. L’Irlande restera finalement bien verte.

Sur l'Age de la Magie, les Morts-vivants et les troupes de l'Empire s'affrontent pour des cochons ! Oui nous sommes aussi étonnez que vous. Il semblerait que le Grand Nécromant aient besoin d'oreilles de cochons pour son prochain rituel. Du coup les morts-vivants se sont déguisés en troupes de l'Empire pour passer inaperçu et subtiliser les cochons.

Devant les plaintes incessantes des paysans et de la population en général, l'histoire remonte jusqu'à la cour impériale. Ayant peur de ne plus trouver de porc rôti à sa table, l'Empereur envoie son armée résoudre ce problème. Les forces impériales interviennent pour empêcher la razzia des morts-vivants.

Les premiers assauts des squelettes et zombies repoussent l'infanterie impériale. Le Général est obligé de lancer ses chevaliers d'élite dans le cœur de la meule. Ils repoussent péniblement leurs adversaires.

Alors que les morts embarquent les cochons tranquillement sous le regard bienveillant des 4 chevaliers de l'Apocalypse, les impériaux forcent les lignes mort-vivantes pour arracher de leurs griffes quelques malheureux cochons. Mais l'intervention de l'armée régulière est trop tardive, la majorité des cochons sont emmené vers leur tragique destin dans les sombres terres vampires.

Sur Warcry, les tueurs nains ont pour objectif d'éliminer un chef de guerre orque qui rassemble une armée à destination de Karak Kadrin. Ils le piègent dans les ruines au pied des montagnes. La garde du Seigneur orque sont intervenir rapidement.

L'escarmouche voit des regroupements éparses entre nains et orques qui s'affrontent farouchement.  Des deux côtés, les pertes sont nombreuses.

Leurs virulents échanges ont réveillé la faune local qui se met à participer aux combats. Les harpies se jettent sur le Seigneur orque, l'empêchant de s'esquiver des combats. Mais la garde est assez performante pour qu'il ne soit pas inquiété par les nains. La perte de leurs chef a démoralisé les tueurs nains qui ne parviendront jamais à atteindre leur objectif. Après l'élimination de la faune local, le seigneur orque reprit son chemin vers sa gloire future.

Pour finir la journée, une petite partie sur Underworld. Les Gobelins du chaos (les gobelins remplacent une bande de chaotique encore sur grappe) doivent faire face à des Sylvaneth. Ils ont eu une très mauvaise idée finalement. Les gobs se prendront une grosse fessée. Votre stratégie est à revoir rapidement, chers petits amis verdâtres.



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